Un arbre 🌲 congelé ?

 LE PROBLÈME NUMÉRO UN DE LA SCIENCE MODERNE – Congelé par un OVNI, par Fernando J. Téllez (Mexique)


Parmi les étranges facéties auxquelles semblent parfois se livrer les occupants des OVNIs lors de leur passage sur notre Terre, l’un des cas les plus étonnants est rapporté par Fernando J. Téllez depuis le Mexique, publié dans le numéro 32 (juin-août 1978) du bulletin spécialisé Stendek du CEI de Barcelone. Il ne fait aucun doute que le phénomène OVNI nous réserve encore d’innombrables surprises que même les chercheurs ne peuvent imaginer. Chaque jour, la presse évoque l’apparition d’objets volants non identifiés au comportement souvent illogique. Le 9 avril 1977, vers 9 h 30 du matin, sur la route vers Cuernavaca, au niveau du kilomètre 31 après Topilejo (État de Morelos), Victor Castorena Guerrero et Pablo Mújica García, deux employés d’une société immobilière, roulent en tête d’un groupe de voitures à bord d’un Opel 1965, quand Castorena aperçoit un objet bleu ciel en forme d’ellipse venant du sud-ouest. En appelant Mújica, celui-ci ne voit que la lueur bleue du phénomène. Tous deux aperçoivent alors un rayon bleu plus clair que l’objet, projeté vers le sol comme une lampe qui s’éteint, ne durant que quelques secondes. Il gèle instantanément un arbre et une zone de 4 mètres carrés autour. Descendant de voiture, ils découvrent un paysage féérique : plantes, feuilles, fleurs et tiges sont encapsulées dans une coque de glace translucide, comme une sculpture de verre soufflé. Plusieurs témoins s’arrêtent et ramassent des fragments de glace, que Castorena et Mújica emportent dans des sacs plastiques, utilisant même quelques morceaux pour rafraîchir des boissons. En visite chez une amie à Cuernavaca, ils lui racontent leur histoire et lui montrent la glace ; elle insiste pour que l’affaire soit portée à la presse. D’abord réticents, ils acceptent, convaincus qu’avec une telle preuve, on ne pourrait les accuser de folie. Rapidement, l’histoire se propage, passant à la radio puis à la télévision nationale. Des échantillons de glace sont conservés au restaurant de leur amie et montrés aux téléspectateurs. Les témoins assurent qu’il ne s’agissait pas d’un liquide tombé du ciel, mais bien d’un rayon lumineux cylindrique émanant de l’OVNI, projeté verticalement. L’objet, de forme ellipsoïdale, ressemblait à deux soucoupes réunies par leur base, lumineux, d’environ 20 mètres de diamètre, volant du sud-ouest au nord-est. Castorena a pu le voir clairement, Mújica a seulement entendu un bourdonnement inconnu. Selon la classification, ce cas relève du type I (Vallée) ou d’un "rencontre rapprochée du second type" (Hynek), mais jamais encore un gel instantané n’avait été rapporté. Aucun laboratoire, même ceux de l’Université nationale autonome du Mexique, n’a accepté d’analyser les échantillons, invoquant le manque d’équipement, mais révélant surtout leur refus implicite de valider un phénomène lié à un OVNI. Pourtant, dans un climat normalement chaud, comment expliquer qu’un arbre ait pu geler en plein jour ? Certains à Cuernavaca ont goûté cette glace : aucun goût étrange ni effet secondaire. Aujourd’hui encore, des morceaux de cette glace sont conservés par des collègues des témoins, comme curiosité. Pourquoi un OVNI aurait-il réalisé une telle démonstration, sur une route très fréquentée un samedi matin ? Peut-être pour dire : « Regardez, nous sommes là. Voici la preuve. » Castorena et Mújica sont des professionnels respectés, sans intérêt particulier pour les OVNIs, et n’ont tiré aucun bénéfice de leur témoignage. Ils espèrent toujours que la glace soit analysée sérieusement. Ils affirment ne pas craindre une autre rencontre, jugeant logique que des êtres explorent notre planète comme nous explorons Mars ou Jupiter. Selon l’échelle d’étrangeté/crédibilité, Castorena obtient un 6 en étrangeté et un 9 en crédibilité, Mújica un 4 et un 9. L’écart vient du fait que seul Castorena a vu l’objet en entier. En somme, ce cas semble authentique, avec une preuve physique inédite à l’appui – un gel instantané observable – qui rend l'hypothèse d'une illusion hautement improbable.

François Garijo

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