Les rencontres des cosmonautes soviétiques avec les OVNIS
Les rencontres des cosmonautes soviétiques avec les OVNIS
Depuis le début de l’ère spatiale, les astronautes ont périodiquement vu des choses étranges en orbite. Parfois, ces particules se retrouvent également sur les objectifs des appareils photo et vidéo transportés par les astronautes.
1°) Le 17 juillet 1978, le cosmonaute Vladimir Kovalenok (futur président de la Fédération russe de cosmonautique) se trouvait à la station orbitale Saliout-6. Ce jour-là, il a signalé au Centre de contrôle de mission qu'un objet étrange s'approchait de leur vaisseau. Visuellement, cet objet ressemblait à une étoile brillante. Pendant un certain temps, l'objet est resté dans le champ de vision du cosmonaute, après quoi il a disparu.
2°) Le 5 mai 1981, le même Vladimir Kovalenok a observé un autre OVNI. Selon son témoignage, il a remarqué un objet « en forme de melon » à proximité du navire, qui se déplaçait à côté du vaisseau sur l’orbite terrestre. L’avant de l’OVNI était translucide. Au cours du processus d’observation, l’objet a commencé à changer de forme : il s’est rétréci au centre et a développé une « taille de guêpe ». À l'endroit de cette taille, l'objet s'est divisé en deux, puis deux boules ont volé vers l'avant, qui étaient reliées par un mincelien . Tout cela a été consigné dans le journal de bord du navire. Dans le même temps, une augmentation significative des radiations a été enregistrée sur Terre dans la zone du vaisseau spatial.
Selon un dessin de l’astronaute réalisé lors d’une interview de l’ufologue Giorgio Bongiovanni, un OVNI qu’il a vu ressemblait à un Tic Tac ou un oeuf oblong, étrange coïncidence d’un fait remontant à 40 ans dans le passé, de nos jors, les fameux Tic Tac de la Navy font la une aux séances du Sénat américain..
3°) Vladimir Kovalenok, deux fois Héros de l'Union soviétique, général de division de l'armée de l'air russe, pilote-cosmonaute, a rappelé qu'à bord du vaisseau spatial Salyut-6, survolant le territoire de l'Afrique du Sud, il a vu un petit objet lumineux dans le hublot, se déplaçant de manière synchrone par le bas. Leur vaisseau spatial volait à une vitesse de 28 000 kilomètres par seconde, et l’OVNI , il s’est avéré, se déplaçait à la même vitesse. Il n'a pas été possible de photographier l'objet inconnu - alors que nous courions vers l'appareil photo, l'objet volant a explosé, se brisant en deux morceaux reliés l'un à l'autre. L'incident a été signalé à la Commission d'État, mais selon le cosmonaute, aucun commentaire officiel n'a été reçu à ce sujet. De retour sur Terre, il s'est avéré que ce jour-là même, les spécialistes qui enregistrent les radiations ont découvert une importante émission radioactive.
Le sourire des anges de l'espace : un phénomène observé par les cosmonautes de la station Saliout-7
La station soviétique Saliout 7 est entrée en orbite le 19 avril 1982. Dernier et plus modifié de la série Salyut, il a continué le travail de ses prédécesseurs : des recherches scientifiques, technologiques, biologiques et médicales y ont été menées. Selon les plans des ingénieurs, le projet devait durer cinq ans. Mais à peine deux ans plus tard, Saliout-7 a été prise dans une pluie de météores et a commencé à sortir de l’orbite terrestre. En 1985, le contact avec elle a été perdu. Des tentatives ont été faites pour sauver la station « morte » en rétablissant son alimentation électrique et en la connectant à des panneaux solaires.
En 1986, la dernière expédition de Soyouz-7 a eu lieu.
L'équipage de cosmonautes soviétiques est alors devenu le premier au monde à voler d'une station à une autre. Ils ont prélevé des échantillons, mis Saliout 7 en veilleuse et sont retournés à la station Mir. En raison de la forte activité solaire de 1990, le complexe orbital a commencé à descendre de manière incontrôlable. En février 1991, il est entré dans l'atmosphère et la plupart de ses parties non brûlées sont tombées dans les eaux de l'océan Atlantique . Pendant l'exploitation de Soyouz 7, six expéditions principales et cinq expéditions de visite ont été réalisées. L’une des missions a tellement choqué les astronautes qu’ils n’ont pas pu décrire ce qu’ils ont rencontré. Ils ont dû garder le silence sur ce phénomène, même si les astronautes américains l’ont également vu.
En février 1984, le vaisseau spatial Soyouz-10 s'est amarré à la station orbitale Saliout-7. Il y avait six personnes à bord : le chef de mission Leonid Kizim, le chercheur Oleg Atkov, l'ingénieur de vol Vladimir Soloviev, ainsi que les cosmonautes Vladimir Dzhanibekov, Igor Volkov et Svetlana Savitskaya. Non seulement cet équipage a réalisé pour la première fois six sorties dans l'espace au cours d'un seul vol et établi un record de vol de 237 jours, mais il a également été témoin d'un événement étonnant qui a été gardé secret : Les cosmonautes russes ont rencontré des anges dans l'espace.
Les cosmonautes russes ont rencontré des anges dans l'espace, mais les dirigeants ont classé cela comme « secret ». Cela s'est passé en 1985, cette histoire a été racontée à la télévision russe.
À la station spatiale Saliout-7, l'équipe de cosmonautes composée de L. Kizim, O. Atkov, V. Soloviev, I. Volk, S. Savitskaya et V. Dzhanibekov devait mener les expériences prévues. Soudain, la station fut entourée d'un nuage de gaz orange d'origine inconnue et il pénétra dans le complexe orbital. Les cosmonautes se sont précipités vers les hublots et ont été stupéfaits : ils ont vu sept silhouettes géantes de l'autre côté du verre ultra-résistant.
C'étaient des anges célestes et tous les astronautes les ont vus, les anges, tournèrent leurs visages vers ùes astronautes pour soutenir leur regard avec intensité.
Le 155e jour de vol, Leonid Kizim a transmis à la Terre un message qui est devenu le plus mystérieux de l'histoire de l'exploration spatiale. Il a informé Control qu'il avait vu un vague nuage orange sur son chemin. Alors que la station entrait, une lueur ardente s'infiltra et entoura l'équipage, les aveuglant un instant. Après avoir cligné des yeux, les astronautes ont ouvert les yeux, mais n'ont rien trouvé. Ils ont regardé à travers les fenêtres pour voir ce que c'était et ont vu sept colosses humanoïdes ressemblant à des anges dans l'espace. La première pensée qui est venue à l’esprit du commandant était celle des anges.
Leurs visages rayonnants étaient empreints de sourires qui semblaient remplis de joie et de plaisir. Les astronautes n’ont pas trouvé les mots pour décrire leur particularité. Tout le monde était d’accord sur le fait qu’une personne ne pouvait pas exprimer une telle spiritualité par un simple mouvement des lèvres. Le nuage orange avec des anges n'a pas disparu de la vue pendant dix minutes. Lors de la fonte, les médecins ont examiné les témoins, mais n'ont enregistré aucune détérioration ni déviation. La nouvelle du miracle sur Terre fut accueillie avec inquiétude ; elle fut immédiatement marquée secret et il fut interdit à l’équipage de porter atteinte à l’autorité de la cosmonautique soviétique avec des récits religieux.
Malgré le scepticisme des scientifiques, les cosmonautes ont rappelé à plusieurs reprises des phénomènes inexplicables dont ils ont été témoins ou auxquels ils ont participé. Par exemple, Vladislav Volkov a entendu les aboiements de Laïka, morte en orbite, ainsi que les voix et les pleurs d'un enfant. Georgy Grechko ressentait une pression persistante d'anxiété irrationnelle alors qu'il survolait le Cap Horn, connu pour un grand nombre de naufrages. Youri Gagarine a entendu des sons similaires à la musique électronique. Le cosmonaute d'essai Sergueï Krichevsky a appelé ces phénomènes « effets Solaris ».
Presque tous les astronautes subissent les « effets Solaris ». Les scientifiques tentent de donner des justifications rationnelles à cela. Certaines choses peuvent être attribuées à la pression ou aux hallucinations. Les experts ont expliqué les éclairs dans les yeux décrits dans les mémoires du cosmonaute Valentin Lebedev par le fait que des particules cosmiques de haute énergie traversaient le globe oculaire. Quelles que soient les raisons de ces phénomènes mystérieux, une chose reste sûre : l’espace recèle un nombre considérable de secrets encore inaccessibles à la compréhension humaine.


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